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Feu de chants

by Stéphane Longval

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1.
Amigo 03:29
C’que tu lis t’assourdis Dans ce bruit la terre crie De nos vies à crédit C’est elle qui paye le prix Face à tous les puissants Et leurs gouvernements Tu dis à ton écran : Sont trop fort les méchants Mais cette nuit t’a rêvé Qu’t’avais plus d’SUV Que tu t’rendais à pied Confronter l’député Quand l’cadran a sonné Ent’2 mondes tu t’es l’vé La seule réalité : Qu’est-ce tu fais d’ta journée? Allez Go! Mon ami Go! Mon amigo Allez Go! Mon ami Go! Mon amigo Quand ton pays s’englishe Pour pogner, pour s’mette riche Dans notre culture en friche Toi tu dis qu’on s’en fiche Au Président qui plaide : Produire plus c’est l’remède La vérité qui cède Si l’réel a pas d’aide Mais cette nuit t’a rêvé Qu’t’avais plus d’SUV Que tu t’rendais à pied Confronter l’député Quand l’cadran a sonné Ent’2 mondes tu t’es l’vé La seule réalité Qu’est-ce tu fais d’ta journée? ( 2 X REFRAIN) Allez Go! Mon ami Mon ami Go! Mon amigo Allez Go! Mon ami Mon ami Go! Mon amigo L’autre jour tu m’montrait Un vieux moulin défait Tu m’disais c’que tu f’rais J’te jure tes yeux brillaient Y’a des toiles d’araignées sur tes projets rêvés C’est pris dans ton grenier Faudrait qu’tu r’trouves la clé Mais c’est fini d’rêver T’attendra pas d’crever Solide sur tes 2 pieds T’es prêt à débuter Ton réveil a sonné Et ton monde veut se l’ver Ta seule réalité Va donner la beauté Allez Go! Mon ami Go! Mon amigo Allez Go! Mon ami Go! Mon amigo Allez Go! Mon ami Go! Mon amigo Allez Go! Mon ami Go! Mon amigo Allez Go! Mon amigo! Go! Mon amigo
2.
En plein nuit peu de mots Dans ta main se trouve mon repos Ma peine fuit par ta peau J’ai si faim d’un soir où tout est beau Tant-an que… On nourrira nos feux à ciel ouvert Tran-an-quile… À l’abri des fins du monde y’a des étoiles En pleine ville un feu d’camps Lève les yeux, rejoins les goélands En pleine vie, un peu d’temps Rêve les yeux ouverts comme un enfant Tant-an que… On nourrira nos feux à ciel ouvert Tran-an-quile… À l’abri des fins du monde y’a des étoiles PONT : Assis su’une bûche on pousse la note Comme des gitans sans la roulotte Quand l’coeur humain s’est démasqué Y’é ben plus facile à chauffer Tant-an que… On nourrira nos feux à ciel ouvert Tran-an-quile… À l’abri des fins du monde y’a des étoiles
3.
Sur un banc 03:40
Pieds ballants du haut de mes 3 pommes Les yeux grands, elle m’appelle son p’tit homme J’vois mes frères et j’essaye de faire comme Si j’sais faire des ballounes ‘èq ma gomme… Sur un banc… Dans cour d’école je cache mes rêves À double tour protéger ma réserve Les vautours attendent que je me lève Un jour l’ado signera la fin d’la trêve… Sur un banc… Moi des fois je vous envie Car le sol sous vos pieds Vous retiens des naufrages Et l’encrage est en vous L’autobus m’offre un cahier givré Sur la fenêtre j’laisse des mots en bués Mon arrêt! va falloir débarquer Aye chauffeur : j’pourrais-tu continuer?... Sur un banc… Un grand parc où j’échoue c’est une île J’fais une marque pour chaque jour tranquille Une débarque les nuits de gelée fragile J’cherche la craque par où la vie scintille… Sur un banc… Moi des fois je vous envie Car le sol sous vos pieds Vous retiens des naufrages Et l’encrage est en vous Face au lac, la brume se lève enfin Cordes au doigt, guitare bien en main Un peu de chance à mettre sur mon pain J’srai présent de bon matin… Sur un banc… Fait de planches d’un arbre pareil à moi Veines et nœuds ma peau est faite de bois Mon sang chante, mes racines se déploient Sur une terre qui m’attendait là-bas… Sur quoi repose ma vie? Comme assise pour se l’ver? Pour poser mes bagages? Un encrage? Mon chez nous?...mon banc!
4.
Des fois c’est lourd la l’vée du corps Ménage pas fait dans mes tiroirs J’prend un café j’m’en vas dehors Awèywe soleil rend-moi-plus-fort Dans l’escalier c’pas compliqué Mon chat est là à ronronner C’pas hier ni d’main qui veut manger Me trouve pas vite à- m’é-vei-ller Là la lumière s’joue du brouillard Se fait un lac de tes boulevards Y’a pu de ville juste un huard La paix arrive jamais trop tard Quelque part dans ma tête y’a un p’tit oiseau Chante su’l bord de la f’nêtre de mon p’tit ego Pris l’traffic chacun son char Toutes les sorties m’amènent nulle part Je vois les oies qui r’viennent du nord Des ch’min dans l’ciel mènent- à- bon- port La vitre baissée je peux crier Main su’l volant d’un âme fusée Dans ce mouvement de tôles rouillées Je bois le vent j’me- suis- écha-ppé Ouvre bien les yeux si tu t’endors Laisse faire la carte trouve l’angle mort C’est p’t’être enfoui au fond d’ton corps Tous les pirates cachent un trésor Quelque part dans ma tête y’a un p’tit oiseau Chante su’l bord de la f’nêtre de mon p’tit ego
5.
On te donne un nom Auquel tu réponds Ça devient un son que tu confonds avec toi T’as besoin d’attention? T’as compris la leçon Être gentil garçon de cette façon ils te voient - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Mais malgré la recette Les signes que tu guettes Quand est quand est v’nu la tempête tu n’as jamais sût pourquoi Toi qui voulais être Toi qui pensais l’être T’aurais voulu être ce qu’ils voulaient que tu sois Mais pendant ce temps … sous la montagne … attend… Pris sous les débris Un enfant trahis La couleur s’est enfuit reste une pâle copie de toi Un jour tu reconstruis Adolescent mal pris Ce n’est pas ta vie c’est une image de toi Prenant son temps … sous la montagne… creusant… À la dérive dans l’espace Frappé par une météorite Un cratère s’est créé Et par défaut une montagne Amoncellement de ruines À ses pieds le champ des possibles Si tu pouvais renaître et vivre sans maître Avancer sur la crête entre les hauts et les bas Aux portes de ces fêtes tant de yeux sans fenêtres L’histoire se répète un mensonge à la fois : « On va faire comme si Tu étais celui Qui habite ici » Le corps est celui À qui on a menti…menti! Sur tes jambes tu trembles des forces se rassemblent Et ce qui viens semble bien plus profond que tu crois Le sang s’est rendu Aux recoins perdus L’âme est revenue portant intacte ta joie Sortant maintenant … de la montagne … vivant Et tu pourras être / et tu oseras l’être Toi tu voudras être /tout ce qui / veux / vivre en toi
6.
Depuis qu’chuis petit C’t’une course infinie Pour gagner le bonheur Qu’y’é toujours ailleurs « Allez! Qu’est-ce t’attends? Fonce! C’est devant Pis traîne pas en ch’min T’es en r’tard sur demain » ( Bridge) Mais mon corps pliait La machine s’emballait Et l’réel comme un mur M’arrêtait, à coup sûr Quand parfois j’y touchais J’me disais : « c’est tu vrai? …ouin OK, on va dire Qu’un mirage ça peut rire » REFRAIN : C’était juste là… Au bout de mes bras… J’le voyais même pas… Si j’pouvais r’prendre ça…si j’pouvais r’prendre ça Là j’t’assis dans l’salon J’appelle ça ma maison Mais c’pas là que j’habites En esprit je vous quitte J’me suis dépassé Tellement éloigné Que j’me suis perdu Ben avant d’être rendu REFRAIN : T’était juste là… Au bout de mes bras… J’te voyais même pas… Si j’pouvais r’prendre ça…si j’pouvais r’prendre ça SOLO BRIDGE : Volant sur des ailes de chimères Traversant l’vide de mes poches d’air J’me suis écrasé dans l’désert La tête dans l’sable, la bouche amère S’il reste des larmes dans mon corps Qu’elle brise la digue où bat pas fort Le cœur aride à moitié mort Suffit d’une goutte pour vivre encore REFRAIN : T’étais juste là Partout sur mes pas Si j’ouvre les bras Est-ce qu’on peut r’prendre ça?J’voudrais tant r’prendre ça
7.
Alors demain s’appelle lundi Mais moi j’ai besoin de magie Trouver un ch’min avant la nuit Qui mène aux portes du paradis On se donne tellement de mal Pour que not’ vie soit pas banale Et dans le creux des heures égales Parfois dans brume y’a un fanal Vers toi ma douce chérie Un homme a son idéal Tout l’ordinaire est spécial Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Y’a ben fallut partir d’ici On se promet des vendredis J’voudrais sentir que j’ai choisit Bien plus souvent que j’ai subit Mais toi t’as eu l’idée géniale De me faire un vaisseau spatial Et je décolle quand on s’emballe T’es l’univers que je trimballe Vers toi ma douce chérie Un homme a son idéal Tout l’ordinaire est spécial Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays Ta peau c’est mon seul pays……ta peau c’est mon vrai pays
8.
Dans un pack sack moi j’traine ma vie //Y’a mes trésors mes cochonneries À force de l’avoir sur mon dos // Ça laisse des traces ça rentre dans peau « Vide ton sac » c’est c’que tu m’dis //« Si l’poids bouffe toute ton énergie » //C’est fou moi j’ai peur de tomber //Par en avant sans mon passé Comme tous nos mots valaient pu rien On s’est r’gardé t’as pris ma main Je t’ai suivi chez nos amis Parfois chanter ça nous guéris C’tu l’électricité dans l’air? Ou ben qu’nos cœurs veulent pus se taire Quand d’une seule voix on se libère Le sens-tu quand on lève de terre? L’électricité dans l’air? Et mon cœur veut pus se taire De tout c’qui m’pèse je me libère Là je sens que je lève de terre J’m’en r’tourne tout seul avec la nuit// En d’dans de moi y’a pu de bruit Quand c’est la paix qui t’accompagne// Sur le chemin la peur s’éloigne J’arrive chez nous j’dépose mon sac// les bagages à soir je m’en sac’ Entre les 4 murs de mon apart// J’me sens plus libre qu’avant que j’parte Oh non c’pas vrai qu’j’va aller m’coucher Quand mon embâcle y va céder J’suis comme un loup sur ma galerie Qui veux hurler tout c’qu’y a senti C’tu l’électricité dans l’air? Ou ben qu’nos cœurs veulent pus se taire Quand d’une seule voix on se libère Le sens-tu quand on lève de terre? L’électricité dans l’air? Et mon cœur veut pus se taire De tout c’qui m’pèse je me libère Là je sens que je lève de terre C’tu l’électricité dans l’air? Ou ben qu’nos cœurs veulent pus se taire Quand d’une seule voix on se libère Le sens-tu quand on lève de terre? L’électricité dans l’air? Et mon cœur veut pus se taire De tout c’qui m’pèse je me libère Là je sens que je lève de terre
9.
Salut maman, ça fait longtemps, tu sais c’que dis l’gouvernement Qu’est-ce que tu fais pour passer l’temps, entre l’épicerie, la pharmacie? Non maman, j’te traite pas d’enfant, je l’sais qu’tas quatre-vingt-cinq ans Tu m’dis qu’ta vie tu l’as choisi, que t’en f’ras jamais une maladie Moi j’suis mêlé dans mes repères…j’t’avoue qu’des fois j’sais plus quoi faire Est-ce que c’est…con…finement? …maman j’ai peur quand je me rends…Derrière mon masque, caché en d’dans Est-ce que j’suis conformiste? ...Ou réfléchir est égoïste…devant une science …corporatiste? Ça fait tout drôle tes cheveux blancs, tant mieux si t’aimes ça finalement Mes ch’veux sont longs, j’suis négligent, mon nouveau miroir c’t’un écran Sortir d’mon trou, revoir des gens, retrouver notre vie d’avant Moi-ci j’content de t’voir maman, ta soupe c’est mon médicament! Dans l’regard confiant de ma mère, y’a trop d’amour pour que j’m’enterre Est-ce que c’est…con…finement? …maman j’ai peur quand je me rends…Derrière mon masque, caché en d’dans Est-ce que j’suis conformiste? ...Ou réfléchir est égoïste…devant une science corporatiste Y’é temps que j’parte, OK,une pointe de tarte, un peu de chez nous si j’m’écarte Leur ch’min c’est une sortie qu’on rate, c’est écrit fausse route ça pancarte Dans l’air du temps faut suivre le vent, sur ta boussole le nord est franc J’suis loin maintenant mais tu m’inspires maman, c’est digne de faire son propre jugement Aussi vrai qu’on a juste une mère, l’premier-ministre c’est pas mon père! Si j’deviens…con…finement…rappelle-moi d’être plus conscient de ce pourquoi je suis vivant Même conformiste…J’insiste…est-ce que c’est ça d’être réaliste : fuir les questions quand elles existent? ……………………………………Dev’nir un chiffre sur une liste n’est pas le rêve d’un humaniste ……………………………………Dans tes yeux bleus idéalistes maman je vois……….. pourquoi t’existes
10.
Pompéi 07:00
Je suis parti de mon pays De la poussière de mon ennui Besoin de m’perdre pour retrouver Ce que L’herbe faisais sous mes pieds Mon ciel étouffe sous l’Acropole En moi des colonnes s’écroulent Mes outils ne savent plus faire Tenir debout le grand mystère Seul compagnon ligne d’horizon Est-ce que mes pas te rejoindront? Sur ces falaises que gruge les flots Poséidon m’appelle vers l’eau Corps entassés sur un radeau Et les sirènes comme chants d’oiseaux : « Terre d’Italie entend nos cris Trouver sa vie n’a pas de prix » Vers Pompéi…Pompéi Vers Pompéi... Pompéi… Dans ces contrées l’art c’est la guerre On y sent le soufre dans l’air « C’est le Vésuve dit un passant La montagne couve un grand tourment » Près de ses flancs un mur défend Cité d’empire de conquérants Qu’est-ce qu’un volcan pour menacer Le glaive de toute l’humanité? Aux portes m’arrête un légionnaire : « Halte! étranger: que viens-tu faire? De quel malheur es-tu porteur? » -« Juste les outils d’un sculpteur » Enfin il me laissa passer Et m’indiqua par où aller Souhaitant par Mars et Jupiter Que je trouve ces maîtres de la pierre À Pompéi…Pompéi… À Pompéi... Pompéi… J’ouvris la porte d’un atelier Y vit de bien sombres rochers « C’est un cadeau de ce volcan » Dit une esclave en s’avançant « Chez nous la mer réclame du blanc Et tous nos Dieux en veulent autant » -« Vous n’êtes bon qu’à vous soumettre » Avec dédain lui dit le maître « Étranger : prend cette pierre de feu! Matière des sommets victorieux! » C’est alors que la terre trembla De ma paume glacée, l’échappa En tombant la pierre se fendit On me chassa sous les hauts cris « Voilà bien des mains de barbares Qui souillent notre art de leurs regards » La rue est sombre en plein midi À la fontaine, me rafraîchit Soudain une voix qui m’interpelle : « Rouge sur noir regarde ce ciel » C’était l’esclave de l’atelier. L’accent qu’elle a m’est familier « L’amphore est pleine mon maître m’attend La mort descend, pars : il est temps » Un grondement sourd comme un craquement Je pris sa main sans faux-semblant Elle prit la mienne comme un destin Et vers la mer trouvas le ch’min. Nous aimant au fond d’un radeau Ses boucles folles, festin de peau Mal amarré, l’on dériva Par chance l’eau nous éloigna… De Pompéi… De Pompéi... Endormis, bercé par la houle… Mais soudains des cris d’une foule Une pluie de cendres qui soudait Les citoyens romains défaits À l’aube tout était fini L’aigle survolant Pompéi Vit tous ses corps statufiés L’œuvre du volcan terminé Pleure Pompéi … Pompéi Pleure Pompéi … Pompéi
11.
Avec pas d’maaaaaaaasque, va ben faloiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir Que j’brosse mes deeeeeeeents ah, plus souvent-hen. Avec pas d’maaaaaaaasque, tu vas ben voiiiiiiiiiiiiiiiiiir Mon air de beuuuuuuuuuuu ah, yé pas ben mieux-eux Merci, merciiiiiii gouvernement J’respire ben mieuuuuuux la bouche ouverte Merci, merciiiiiii gouvernement Toi qui ne maaaaaaaaaaaaaaaaaaaan / que pas de jugement Avec pas d’maaaaaaaasque, si tu souris (YOUPI!!!!!) J’vas p’t’être me taiiiiiiiiiiiiiiiiire, je s’rai guériiiiiiiiiiiiiiii Avec pas d’maaaaaaaasque, mes yeux vitreuuuuuuuuuuuuuux C’pas l’CO22222222222222222222222, ah-cé mon air heureux Merci, merciiiiiii gouvernement Je vois plus claiiiiiiiiiiiiiiir dans mes luneeeeeeeeeetes Merci, merciiiiiii gouvernement Toi qui ne maaaaaaaaaaaaaaaaaaaan / que pas de jugement Je diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii qu’on avance Je peeeeeeeeeeeeeeense en reculant Car moi Je diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii qu’on avance Je peeeeeeeeeeeeeeense en reculant Avec pas d’maaaaaaaasque, je lis cé lèèèèèèèèèèèèèvre Et je comprends, ah-moins lentemeeeeeeeeeeeeeent Avec pas d’maaaaaaaasque, y fais moins chauuuuuuuuuuuud Au centre d’achats, j’me colle sur toi, toi, toi Merci, merciiiiiii gouvernement Je mets une faaaaaaace sur ton visage Merci, merciiiiiii gouvernement Toi qui ne maaaan / que pas de jugement Merci, merciiiiiii gouvernement À toi qui meeeeeeeeeeeeeeeeeem / merde plus avec ça

about

Album qui célèbre l'intimité, l'amitié et la sensibilité humaine. Une musique livrée de la façon la plus directe et simple, droit au cœur.

credits

released October 28, 2023

Voix : Stéphane Longval
Chœur : Vincent Poirier et Julie Larochelle
Guitare acoustique, électrique et basse : V.Poirier sauf sur Y’a un p’tit oiseau (guitare : Ian Fournier, contrebasse : Benoit Converset, saxophone : René Béchard) et sur Avec pas d’masque (guitare : Thierry Pinet)
Piano, synthétiseur, échantillonnage, harmonica et percussions : Vincent Poirier
Violon : Julie Larochelle
Prise de son, mix et réalisation : Vincent Poirier sauf pour Y’a un p’tit oiseau (Prise de son, mix et réalisation : Ian Fournier) et pour Avec pas d’masque (Prise de son : Steves Fontaine)
Photos : Marcel André Levasseur
Graphisme : Marie-Hélène Montigny (www.montigny.ca)

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Stéphane Longval Sherbrooke, Québec

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